Les yeux, les oreilles et puis la peau


Les deux-roues en équilibre, les voitures en attente, les bipèdes en mouvement.
Des amoureux s'évitent, les voitures ronronnent, les mobylettes s'égosillent et l'autoroute ronfle. Le soleil s'assoit sur un banc. Il brille.

Des îlots d'étudiants flottent sur la marée verte près des pré-fabriqués, ces fabriques à penser.

La solitude du gobelet en plastique. Il roule, le vent sans doute.

Le bruit des talons – un rythme féminin                   mégots d'égo – dégoût des mots



Où suis-je ? Il est 18h, je me réveille.

2 commentaires: